Les immigrants récents, c’est-à-dire installés au Canada depuis moins de 10 ans, sembleraient plus propice à quitter leur nouvelle vie pour déménager, surtout face à l’inabordabilité du logement. Toronto, ville particulièrement chère, voit 44% de ses récents immigrés envisager le départ, que ce soit ailleurs au Canada ou à l’étranger.
Shachi Kurl, président de l’Institut Angus Reid, explique pourquoi, et comment, son institut a pu mener cette étude. Pr. Candiz, de l’Université de l’Ontario Franças, livre son analyse de la situation et propose un regard critique sur l’étude, rappelant que les défis à relever sont différents pour chacun.