Deux cinéastes mythiques, trois films qui donnent matière à penser et des spectateurs ouverts à toutes sortes d’expériences : c’est le cœur des séances de la catégories Wavelength.
L’un des programmes de courts-métrages présentait, post mortem, les derniers films de Jean-Luc Godard, un collage et un film-annonce. Rares sont les images du réalisateur à cet âge, et le deuxième court-métrage fut projeté dans le silence respectueux des cinéphiles, avides de la parole du maestro.
Le troisième film était réalisé par John Smith, moins emblématique mais tout aussi prolifique. Le court-métrage a largement détendu l’atmosphère, complètement décomplexé et sarcastique dans son autoréflexion. Le court-métrage « Being John Smith », comme ceux de Godard, a donné le sentiment d’un moment privilégié avec son créateur, pour des spectateurs qui ont apprécié ces trois propositions.